Le bien-être d'une personne dépend de son état émotionnel et spirituel. Chacun est animé de croyance construite au fil du temps. Dans les vidéos il s'agit de partage personnel et en aucun cas de prosélytisme.
J'ai connu la période d'incroyance en Dieu (ou dénommée autrement pour chacun) comme aussi celle d'y croire; ainsi cela me permet d'être à l'aise avec tout le monde..Je pense que lorsque l'on cherche à apporter du bonheur aux autres, nos différences deviennent minimes et beaucoup plus subtiles.
Si notre esprit curieux est animé de tolérance et de respect ainsi que d'une certaine ouverture, alors je vous souhaite un agréable moment. En toute amitié.
Aimer
Qu’il est merveilleux d’être aimé et de pouvoir aimer. Que c’est bon de pouvoir arrêter ses activités et d’offrir son temps sans retour. J’aime ce temps.
Aimer c’est tout donner.
Aimer c’est tout abandonner.
Aimer c’est changer de vie.
Aimer c’est se sacrifier.
Aimer c’est donner sa vie.
Aimer c’est donner sa vie entièrement.
Aimer c’est être entièrement voué à l’autre.
Aimer c’est voir le bonheur de l’autre avant le sien.
Aimer c’est toujours passer en second.
Aimer c’est s’oublier pour l’autre.
Aimer c’est être attentif à l’autre.
Aimer c’est reformuler les sentiments, les explications sans déformer.
Aimer c’est croire en l’autre quand il s’exprime sincèrement
Aimer c’est respecter la liberté de penser sans chercher à le ramener dans son sillage
Aimer c’est accepter d’être différent et se réjouir de la différence.
Aimer c’est admirer l’autre.
Aimer c’est relever toutes les belles qualités
Aimer c’est se mettre à la place de l’autre.
Aimer c’est s’organiser en fonction de l’autre.
Aimer c’est être constamment en communion.
Aimer c’est s’ennuyer sans l’autre.
Aimer c’est le comprendre, le défendre.
Aimer c’est admirer l’autre.
Aimez c’est valoriser l’autre.
Aimez c’est soutenir.
Aimer c’est élever, faire grandir, épanouir l’autre.
Aimer c’est compatir, souffrir avec, se réjouir avec.
Aimer c’est se réjouir d’un sourire
Aimer c’est être généreux.
Aimer ce n’est pas calculer.
Aimer c’est offrir son travail pour l’autre.
Aimer c’est subvenir aux besoins financiers.
Aimer c’est donner du temps sans compter.
Aimer c’est échanger inlassablement.
Aimer c’est offrir sa main.
Aimer c’est offrir la couverture, jamais la tirer pour soi.
Aimer c’est être malheureux de l’éloignement.
Aimer c’est être dans l’attente du retour.
Aimer c’est l’impatience de la rencontre.
Aimer c’est vivre dans le souvenir des bons moments.
Aimez c’est pardonner avant même une demande.
Aimer c’est aimer plus qu’avant.
Aimer ce n’est rien regretter.
Aimer contre vents et marées.
Aimer c’est ne pas condamner.
Aimer c’est aimer les faiblesses de l’autre
Aimer c’est être malheureux face aux pleurs.
Aimer c’est ne jamais abandonner, jamais rejeter.
Aimer c’est soulager l’autre des charges lourdes.
Aimez c’est remercier
Aimer c’est s’aimer soi-même pour aimer les autres Comme nous respectons la nature nous l’avons à l’image du respect que l’on a envers soi-même.
Aimer c’est tout arrêter et se concentrer sur l’essentiel.
Aimer c’est vouloir être tout à l’autre.
Aimer c’est être enthousiaste, émerveillé.
Aimer c’est espérer.
Aimer c’est prier ensemble.
Aimer c’est une décision
Si nous savions le bonheur d’aimer… d’être aimé, de pouvoir aimer, de se savoir aimé et de sentir aimé. Quelle vie différente.
Tout simplement.
Est-ce vrai ?
Jean Paul Hardy
Et si l’amour était le plus puissant des médicaments.
Un article de Xavier Bazin soulève un point important pour notre santé. Il s’incruste tout à fait dans le sens de la santé, c’est pourquoi je livre ma réflexion.
Savons-nous qu’une certaine habitude de vie, en apparence inoffensive, est aussi nuisible pour notre santé que de fumer 15 cigarettes par jour ? Qui l’eût cru ! Je m’explique :
Quatre piliers fondamentaux de la santé :
_ Une bonne alimentation, riche en légumes et pauvre en sucres rapides.
_ Une activité physique régulière, qui stimule notre cœur et maintient notre masse musculaire.
_ Une gestion efficace de notre stress, avec un sommeil réparateur.
_ Une protection contre les poisons de la vie moderne : pesticides, perturbateurs endocriniens, médicaments, métaux toxiques etc.
Des hommes vivent aussi longtemps que les femmes : En Sardaigne centrale, les habitantsd’Icarie en Grèce, sur l’île d’okinawa ; à Vilcabamba au Pérou, dans la république d’Abdazhie dans le Caucase on trouve souvent trois ou quatre générations sous le même toit. On compte 10 fois plus d’hommes de plus de 100 ans qu’ailleurs. Les générations plus jeunes affirment que c’est un plaisir de s’occuper de ses anciens. Ils représentent nos racines. Les seniors de nos villages sont notre trésor.
Les femmes dans le monde ont des contacts beaucoup plus fréquents avec les membres de leur famille, leurs amis ou leur voisinage. C’est sans doute ce qui explique en partie pourquoi elles vivent plus longtemps car elles sont moins esseulées.
Les relations humaines sont un vrai secret de la longévité.
L’alcoolisme, le tabac, l’absence d’activité physique sont délétères pour la santé. Mais les bonnes relations humaines nous maintiennent heureux et en bonne santé. C’est tout. Ce sont les conclusions de nos chercheurs.
La qualité compte au moins autant que la qualité.
Les chercheurs ont constaté qu’il était aussi primordial d’avoir dans sa vie une ou plusieurs personnes très proches, sur qui nous pouvons compter.
De fait on peut se sentir seul et isolé affectivement au milieu d’une foule… voire au sein de son propre couple. Dans l’étude d’Harvard, par exemple, les mariages très conflictuels avaient des conséquences désastreuses pour la santé mentale et la longévité des conjoints.
En revanche, il apparaît clairement que les mariages stables sont l’un des meilleurs gardiens de la santé qui existent. Plus la relation qui unit les conjoints est étroite, moins ils subissent de maladies chroniques, de maladies mentales ou de déclin cognitif.
Une rafale d’études qui confirment ce que j’avance.
Une étude britannique conclue qu’il y a deux fois moins de chance de mourir prématurément que les personnes isolées.
Plus étonnant encore : d’après cette étude, c’est la qu’il est mentionné qu’être isolé est plus délétère pour la santé que de fumer 15 cigarettes par jour.
Il y a plus de risque de faire une crise cardiaque que celles qui sont bien entourées. Ainsi qu’une meilleure tension artérielle.
Il y a un niveau moins élevé d’inflammation.
On pense qu’il y a un effet direct sur nos gènes et en particulier ceux qui régulent notre système immunitaire… et combattent le cancer.
Les femmes touchées par un cancer du sein ont quatre fois plus de chances de survivre que les femmes les moins entourées.
L’isolement social augmente le risque de mortalité de 30 %.
. Mais d’où vient le prodige ?
Subir un déficit affectif a des effets chroniques sur l’organisme : notre tension est plus élevée, nos hormones sont aux aguets, notre cœur est sur le qui-vive… toutes choses qui épuisent nos cellules et nous rendre plus vulnérable aux maladies chroniques.
Le seul fait de prendre quelqu’un dans ses bras déclenche les hormones d’ocytocine et de vasopressine qui réduisent le stress, la douleur et favorisent la guérison des cellules
Et si l’on faisait des efforts tels que :
_ Rejoindre ou créer un groupe autour d’une même passion : randonnée, jouer aux cartes, faire de la photo, etc.
_ Essayer des activités qui nous feront rencontrer de nouvelles personnes : yoga, danse, tai-chi,…
_ Résister à l’envie de dire « non » aux invitations. On a toujours de bonnes raisons de rester tranquille chez soi dans son petit confort.
_ Ne pas hésiter à participer à une activité associative avec les autres. Le fait de donner de son temps pour d’autres à des effets bénéfiques pour la santé.
_ Essayer d’enrichir notre relation avec les personnes que nous croisons régulièrement : voisins, commerçants etc. Apprenons à mieux les connaître.
_ Passer du temps avec les membres de notre famille. Organiser des repas ou des sorties. Contactez ceux avec qui nous n’avons pas parlé depuis des années. Faire la paix, oublier les vieilles rancunes.
_ Ne pas laisser nos amis s’éloigner. Montrez-leur qu’ils peuvent compter sur nous. Faire davantage de chose ensemble au quotidien : marcher, manger, parler etc. Essayer de nouvelles activités à deux. Ne pas passer une seule journée sans contact physique.
Le docteur David Servan-Schreiber résume : ce qui importe, c’est le sentiment de pouvoir être soi, complètement, avec quelqu’un d’autre. De pouvoir se montrer faible et vulnérable autant que fort et radieux. De pouvoir rire mais aussi pleurer. De se sentir compris dans ses émotions. De se savoir utile et important pour quelqu’un. Et d’avoir un minimum de contact physique chaleureux. D’être aimé, tout simplement.
Le paradis, c’est les autres.